La première cause est tout simplement un volume de circulation supérieur à la capacité routière : les voitures sont trop nombreuses et le trafic s’arrête à chaque goulot d’étranglement (rétrécissement de la route, voies qui se rejoignent, croisements de routes). La circulation est à ce titre comparable à l’écoulement d’un liquide dans un tuyau.
Une autre explication est liée à la capacité qu’ont les automobilistes de freiner. Quand les voitures sont proches les unes des autres, il suffit qu’un conducteur freine brutalement pour faire freiner en cascade tous les véhicules qui le suivent et propager ainsi un ralentissement, voir même un arrêt du trafic sur une certaine longueur. Quand le premier conducteur redémarre, de nouvelles voitures sont venues s’agglutiner et le bouchon se déplace vers l’arrière comme une onde, par un effet de dominos.
Enfin, plusieurs évènements peuvent provoquer ou aggraver la congestion : accidents, travaux, voitures en panne, stationnements gênants, conditions météorologiques mauvaises, etc.
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